Introduction aux vitamines et à leur rôle en tant que compléments nutritionnels
Les vitamines sont des composés organiques nécessaires en petites quantités au métabolisme normal, à la croissance et au maintien de la santé. Elles n’apportent pas d’énergie utilisable comme les glucides, les lipides et les protéines, mais jouent des rôles essentiels en tant que coenzymes, cofacteurs, antioxydants et molécules de signalisation qui permettent les réactions biochimiques et les processus cellulaires. Parce que l’organisme humain ne peut pas synthétiser un grand nombre de vitamines du tout ou n’en produit pas suffisamment pour satisfaire les besoins physiologiques, elles sont considérées comme des composants indispensables de l’alimentation. La santé publique et la nutrition clinique soulignent leur importance, car un apport insuffisant en vitamines peut altérer des fonctions biologiques spécifiques et contribuer à des syndromes de carence reconnaissables. Dans la pratique moderne, les vitamines apparaissent fréquemment comme des ingrédients clés des compléments nutritionnels conçus pour prévenir les carences, soutenir le fonctionnement normal et compléter les habitudes alimentaires. Au cours des dernières décennies, la consommation de compléments a augmenté dans le monde, stimulée par des facteurs tels qu’une prise de conscience accrue de la santé, le vieillissement des populations, une plus grande variété de régimes alimentaires (y compris des régimes restrictifs) et une disponibilité élargie de formulations ciblées. Multivitamines, produits mono‑vitamines, gommes, gélules, comprimés effervescents et mélanges en poudre offrent aux consommateurs de nombreuses façons de répondre à des besoins ou préférences particuliers. Une supplémentation responsable doit être fondée sur des preuves et conforme aux directives réglementaires et aux conseils de santé individualisés, car des apports insuffisants comme excessifs peuvent comporter des risques pour la santé. Cet article fournit un aperçu scientifique de la classification des vitamines, de l’utilisation des vitamines dans les compléments nutritionnels, des formats de produits courants rencontrés par les consommateurs, de la manière dont les compléments peuvent combler les carences alimentaires, des signes de carence, des sources alimentaires naturelles et des recommandations pratiques pour choisir des produits de qualité. Lorsque pertinent, des exemples de catégories sont référencés afin que les lecteurs puissent explorer des assortiments standards de produits lorsqu’ils envisagent une supplémentation sûre et appropriée. L’objectif est d’informer les lecteurs sur ce que sont les vitamines, pourquoi elles sont importantes et comment les intégrer intelligemment dans une routine équilibrée et axée sur la santé sans exagérer les bénéfices ni formuler des allégations dépourvues de fondement réglementaire. Tout au long du texte, la discussion respecte les connaissances établies sur la fonction des nutriments et les allégations de santé reconnues le cas échéant, et encourage la consultation de professionnels de santé pour des recommandations personnalisées, en particulier pour les étapes de la vie, les conditions médicales ou les interactions médicamenteuses pouvant modifier les besoins ou l’absorption des nutriments.
Vitamines pour compléments nutritionnels : composés essentiels à une santé optimale
Les vitamines sont classées principalement selon leur solubilité en deux groupes : les vitamines hydrosolubles et les vitamines liposolubles. Les vitamines hydrosolubles comprennent le groupe des vitamines B (comme B1, B2, B3, B5, B6, B7, B9 et B12) et la vitamine C ; elles se dissolvent dans l’eau, ne sont généralement pas stockées en grande quantité dans l’organisme et les excès sont souvent excrétés dans l’urine. Les vitamines liposolubles comprennent les vitamines A, D, E et K ; elles sont absorbées avec les graisses alimentaires, peuvent être stockées dans des tissus tels que le foie et le tissu adipeux, et peuvent donc s’accumuler si l’apport est excessif. Ces distinctions influencent la manière dont les compléments sont formulés. Les fabricants tiennent compte de la solubilité, de la stabilité, des interactions, des doses requises et de l’usage prévu lors de la production de mélanges multivitaminés ou de produits mono‑nutriments. Par exemple, les vitamines liposolubles sont souvent formulées avec des huiles, des émulsifiants ou des systèmes de délivrance spécifiques pour améliorer l’absorption, alors que les vitamines hydrosolubles peuvent être proposées sous forme de comprimés, gélules, poudres ou gommes. Des formulations de qualité prennent également en compte les formes de nutriments : certaines vitamines existent sous plusieurs formes chimiques ayant des biodisponibilités ou des stabilités différentes. Une étiquette peut indiquer une B12 méthylée (méthylcobalamine) ou du folate sous forme de 5‑méthyltétrahydrofolate plutôt que d’acide folique pour refléter les formes utilisées pour certaines populations, par exemple. Une supplémentation appropriée vise à prévenir ou corriger les carences et à maintenir un fonctionnement physiologique normal. Il est important d’utiliser les compléments dans les limites des apports journaliers recommandés et de suivre des indications fondées sur des preuves. Un usage excessif ou inutile de suppléments à haute dose, en particulier pour les vitamines liposolubles, peut entraîner des effets indésirables. Par exemple, un apport excessif en vitamine A préformée suscite des préoccupations dans certaines populations, et des apports très élevés de certaines vitamines peuvent interagir avec des médicaments ou masquer des résultats d’analyses de laboratoire. En clinique, les compléments sont souvent recommandés pour traiter des carences identifiées, répondre à des besoins augmentés (par exemple pendant la grossesse, lorsque l’acide folique est recommandé) ou lorsque l’apport alimentaire ou l’absorption est insuffisant. Dans de nombreux pays, des cadres réglementaires guident les allégations autorisées sur l’étiquetage des produits ; les fabricants font souvent référence aux fonctions reconnues des nutriments conformes aux approbations réglementaires. Pour les consommateurs recherchant des options fiables par catégorie, des assortiments sélectionnés mettant en avant la vitamine C, la vitamine D, la vitamine K, le magnésium et les oméga‑3 peuvent être utiles lorsqu’ils sont associés à un avis professionnel et à une évaluation diététique régulière pour garantir une utilisation équilibrée et sûre.
Compléments nutritionnels : combler les lacunes de notre alimentation avec des vitamines
Les compléments alimentaires existent sous diverses formes : complexes multivitamines‑minéraux, gélules ou comprimés mono‑vitamines, formulations à croquer ou en gommes, poudres pour préparations à boire, et combinaisons spécialisées ciblées par étape de la vie ou considération de santé. Les multivitamines fournissent généralement un large éventail de vitamines et certains minéraux à des dosages destinés à compléter l’apport alimentaire et réduire le risque de déficits multiples. Les produits mono‑vitamines permettent un dosage plus précis lorsqu’une carence ou un besoin spécifique est identifié. Les gommes et comprimés à croquer peuvent améliorer l’observance pour les personnes qui n’aiment pas avaler des pilules, tandis que les poudres et les effervescents sont choisis pour leur commodité ou pour optimiser la palatabilité et l’absorption. Les modes de vie modernes peuvent contribuer à des lacunes en vitamines : régimes hautement transformés, horaires de repas irréguliers, régimes alimentaires restrictifs (végétarien, végétalien ou régimes d’élimination), insécurité alimentaire, exposition solaire limitée affectant la synthèse de la vitamine D, ou conditions médicales altérant l’absorption des nutriments (telles que des troubles gastro‑intestinaux ou une chirurgie bariatrique) sont des raisons courantes pour lesquelles les besoins ne sont pas couverts par l’alimentation seule. Les compléments peuvent constituer une option pragmatique pour aider à combler ces lacunes lorsqu’ils sont choisis de manière réfléchie. Parmi les conseils pour choisir des compléments de qualité : privilégier des produits de fabricants réputés avec un étiquetage transparent, des formes de nutriments standardisées, des tests tiers pour la pureté et l’absence de contaminants lorsque disponibles, des instructions de dosage claires et des formulations adaptées aux besoins individuels. Il est conseillé de consulter un professionnel de santé ou un diététicien diplômé avant de débuter une supplémentation, en particulier pour les personnes prenant des médicaments, les personnes enceintes ou allaitantes, les personnes âgées et celles atteintes de maladies chroniques. Les professionnels de santé peuvent recommander des tests de statut nutritionnel pour certaines vitamines — par exemple le dosage sérique de la 25‑hydroxyvitamine D pour évaluer le statut en vitamine D ou le dosage sérique de la vitamine B12 en cas de suspicion de carence — afin d’orienter une supplémentation ciblée. Les pages de catégories mettant en avant des assortiments dédiés aux vitamines, comme la vitamine C, la vitamine D, la vitamine K, le magnésium et les oméga‑3 DHA/EPA, peuvent servir de points de départ pour explorer les types de produits. En fin de compte, les compléments sont les plus efficaces lorsqu’ils complètent une alimentation riche en nutriments, répondent à des besoins objectivement identifiés et s’intègrent dans un plan de santé à long terme qui privilégie une stratégie « food‑first » tout en reconnaissant quand la supplémentation est un adjuvant sûr et pratique.
Carence en vitamines : reconnaître les signes et combler les lacunes
Les carences vitaminiques peuvent se manifester par une gamme de signes et symptômes selon le nutriment déficient et la durée de la carence. Les carences couramment rencontrées en milieu clinique et en santé publique incluent la vitamine D, la vitamine B12, la vitamine C, la vitamine A, l’acide folique (B9) et la vitamine K dans certains contextes. L’insuffisance en vitamine D peut être associée, chez certains individus, à des symptômes non spécifiques tels que fatigue ou faiblesse musculaire ; l’évaluation se fait par la concentration sérique de 25‑hydroxyvitamine D ; une supplémentation appropriée est souvent recommandée lorsque les taux sont faibles, en tenant compte des plages cibles sûres et des recommandations de dosage. La carence en vitamine B12 peut se traduire par une anémie, des engourdissements ou des fourmillements, ainsi que des symptômes neurocognitifs ; elle est plus fréquente chez les personnes âgées, celles ayant des problèmes d’absorption ou suivant des régimes végétaliens stricts, puisque les sources alimentaires fiables de B12 sont principalement d’origine animale. La carence en vitamine C (scorbut) est rare dans de nombreux contextes mais peut se manifester par des gencives qui saignent, une cicatrisation retardée et de la fatigue lorsque l’apport est chroniquement insuffisant. La carence en vitamine A affecte la vision et certaines fonctions immunitaires dans les cas sévères, principalement dans les populations ayant un accès limité à une alimentation variée. La carence en vitamine K peut affecter la coagulation sanguine et est particulièrement pertinente chez les nouveau‑nés sans prophylaxie, chez les personnes sous certains médicaments ou chez celles ayant des syndromes de malabsorption. Les causes de carence vont au‑delà d’un apport insuffisant et incluent la malabsorption, un métabolisme altéré, une demande physiologique augmentée (croissance, grossesse, maladie), des interactions médicamenteuses (par exemple des médicaments qui gênent l’absorption ou le métabolisme des vitamines), des régimes restrictifs et une exposition solaire limitée pour la vitamine D. Traiter les carences implique généralement un conseil diététique pour augmenter l’apport en aliments riches en nutriments et, lorsque nécessaire, une supplémentation ciblée sous surveillance médicale. Les tests de laboratoire aident à confirmer les carences et à suivre la réponse au traitement. Les stratégies de repletion sûres respectent les lignes directrices établies en matière de dosage pour éviter la surcorrection ; pour les vitamines liposolubles en particulier, la surveillance est importante car un excès peut s’accumuler. En pratique, la sélection de suppléments fondée sur les preuves — en choisissant des formes et des doses appropriées, vérifiées par rapport aux recommandations professionnelles — aide à corriger les carences tout en minimisant les risques. Les options par catégorie pour la vitamine D, la vitamine B12 et les nutriments apparentés sont couramment utilisées dans les protocoles de reconstitution clinique et dans les stratégies de prévention grand public lorsque les carences sont confirmées ou que le risque est important.
Nutriments essentiels : les vitamines comme fondement du bien‑être global
Les vitamines font partie d’un groupe plus large appelé nutriments essentiels, que l’organisme doit obtenir de sources externes parce qu’il ne peut pas les synthétiser en quantités suffisantes. Le concept d’essentiel est fondamental en science de la nutrition car il détermine quels composés doivent être apportés par l’alimentation pour soutenir la vie et le bien‑être. Les vitamines jouent des rôles distincts dans de nombreux domaines biologiques : voies métaboliques d’obtention d’énergie, fonction du système nerveux, compétence immunitaire, entretien des tissus, vision et coagulation sanguine, entre autres. Beaucoup de ces rôles ont été suffisamment caractérisés pour soutenir des allégations de santé réglementées ; par exemple, des déclarations autorisées reconnaissent que la vitamine D contribue au maintien d’os et de dents normaux et au fonctionnement normal du système immunitaire, que la vitamine C contribue au fonctionnement normal du système immunitaire et à la protection des cellules contre le stress oxydatif, et que la vitamine K contribue à la coagulation sanguine normale et au maintien d’os normaux. Les vitamines B sont collectivement importantes pour le métabolisme énergétique et la fonction du système nerveux. Ces allégations fonctionnelles autorisées reflètent des preuves selon lesquelles des apports adéquats soutiennent directement des paramètres physiologiques spécifiques. Intégrer les vitamines dans les routines quotidiennes est plus efficace lorsqu’il s’accompagne de stratégies alimentaires privilégiant la variété et les aliments riches en nutriments. Une approche équilibrée inclut le choix de fruits et légumes entiers, de céréales complètes, de protéines maigres, de produits laitiers ou d’alternatives enrichies et de graisses saines afin de fournir un spectre de vitamines et de minéraux. Les compléments peuvent être utilisés de manière stratégique pour des étapes de vie et des situations où les besoins sont accrus ou l’apport limité — par exemple, la supplémentation en acide folique en période périconceptionnelle pour réduire le risque de malformations du tube neural est une mesure de santé publique établie. L’intégration pratique implique aussi de respecter les dosages recommandés, de vérifier les interactions potentielles (par exemple certaines vitamines pouvant affecter le métabolisme des médicaments) et d’opter pour des formulations de qualité. Les consommateurs intéressés par des bénéfices fonctionnels spécifiques examinent souvent des catégories de produits telles que la vitamine D, la vitamine C, la vitamine K, le magnésium et les oméga‑3 pour un soutien ciblé. Rappeler que le bien‑être à long terme repose sur un mélange holistique d’adéquation nutritionnelle, d’activité physique régulière, de sommeil, de gestion du stress et de soins préventifs plutôt que sur une dépendance exclusive aux compléments.
Sources de vitamines : aliments naturels versus compléments
L’alimentation est la source primaire et préférée de vitamines parce que les aliments complets fournissent des matrices complexes de nutriments et de composés non nutritifs qui agissent en synergie pour soutenir la santé. Les sources naturelles varient selon le nutriment : les agrumes, les poivrons et les légumes à feuilles vertes sont riches en vitamine C ; les poissons gras et les laits (ou boissons végétales) enrichis sont des sources de vitamine D ou de ses précurseurs alimentaires ; le foie, les produits laitiers et les légumes orange‑rouge fournissent des précurseurs et des formes préformées de la vitamine A ; les légumes à feuilles et les aliments fermentés contiennent de la vitamine K ; les légumineuses, céréales complètes, noix et graines contribuent à diverses vitamines B et minéraux ; et les produits animaux sont les sources les plus fiables de vitamine B12. La biodisponibilité micronutritionnelle des aliments dépend de la matrice alimentaire, des méthodes de préparation et des facteurs individuels d’absorption ; par exemple, la vitamine C améliore l’absorption du fer non héminique des aliments végétaux, tandis que les phytates dans certaines céréales peuvent réduire la biodisponibilité des minéraux. Les avantages d’obtenir les vitamines par l’alimentation comprennent l’apport concomitant de fibres, de phytonutriments et de ratios nutritifs équilibrés, ainsi qu’un risque moindre d’effets indésirables liés à un apport excessif sur un seul nutriment. Néanmoins, les compléments ont un rôle précieux lorsque l’alimentation seule ne suffit pas à couvrir les besoins en raison de régimes restreints, de conditions médicales altérant l’absorption, d’une augmentation des besoins physiologiques ou d’une exposition solaire limitée affectant la synthèse de la vitamine D. Lorsque la supplémentation est nécessaire, le choix de produits appropriés implique d’évaluer la forme du nutriment, la dose, la pureté et les pratiques de fabrication reconnues. Sélectionner des produits parmi des assortiments de catégories reconnus — tels que des préparations de vitamine D avec informations de dosage claires, des options de vitamine C pour un apport quotidien commode, des formulations de magnésium adaptées au soutien musculaire et énergétique, ou des produits oméga‑3 fournissant DHA et EPA — aide les consommateurs à naviguer dans les choix tout en maintenant une approche axée sur l’alimentation. Pour beaucoup de personnes, combiner une alimentation riche en nutriments avec une supplémentation judicieuse sous la supervision d’un professionnel offre la voie la plus fiable pour satisfaire les besoins en vitamines tout en minimisant les risques de carence ou d’excès.
Bienfaits d’un apport adéquat en vitamines et de la supplémentation
Un apport adéquat en vitamines soutient de nombreuses fonctions physiologiques spécifiques et, lorsque les cadres réglementaires le permettent, certains rôles bénéfiques des vitamines sont reconnus dans des allégations de santé. Par exemple, la vitamine D contribue au maintien d’os et de dents normaux et au fonctionnement normal du système immunitaire ; la vitamine C contribue au fonctionnement normal du système immunitaire et à la protection des cellules contre les dommages oxydatifs ; la vitamine K contribue à la coagulation sanguine normale et au maintien d’os normaux ; plusieurs vitamines B contribuent au métabolisme énergétique normal et au fonctionnement du système nerveux ; le magnésium contribue à la réduction de la fatigue et de l’épuisement et au fonctionnement musculaire normal. Ces relations établies reflètent un ensemble de preuves scientifiques liant un statut vitaminique suffisant à certains paramètres fonctionnels. Les essais cliniques et les études observationnelles examinent les bénéfices de la supplémentation dans des contextes ciblés : la supplémentation en vitamine D est étudiée pour les résultats en santé osseuse et dans les populations à statut faible ; la supplémentation en vitamine B12 est utilisée pour corriger la carence et les anomalies hématologiques ou neurologiques associées ; la vitamine C a été évaluée sur des marqueurs de fonction immunitaire et comme antioxydant ; la supplémentation en magnésium a été envisagée en relation avec la fonction musculaire, le sommeil et des paramètres métaboliques ; et les suppléments DHA/EPA oméga‑3 sont étudiés pour des rôles dans le développement neural et des biomarqueurs cardiovasculaires. Il est important d’interpréter les résultats avec prudence : les bénéfices sont les plus nets lorsque la supplémentation corrige une carence établie ou est utilisée à des dosages soutenus par des preuves pour des besoins spécifiques. Des allégations générales selon lesquelles une supplémentation à haute dose produira des améliorations de santé globales chez des populations déjà en situation de réplétion ne sont pas soutenues par des preuves solides dans de nombreux cas. Un apport équilibré — respectant les gammes d’apport quotidien recommandées et évitant des excès inutiles — est la stratégie la mieux étayée. Les consommateurs peuvent consulter des catégories de produits axées sur des nutriments particuliers lorsque, avec leur professionnel de santé, ils déterminent qu’une supplémentation est appropriée. Les choix éclairés scientifiquement privilégient la qualité, des formulations appropriées et le respect des doses recommandées pour maximiser les chances d’obtenir des résultats pertinents sur la santé tout en maintenant la sécurité.
Conclusion : le rôle essentiel des vitamines et une supplémentation responsable
Les vitamines sont des éléments fondamentaux de la nutrition humaine. Elles soutiennent un large éventail de fonctions biologiques, du métabolisme énergétique à la compétence immunitaire, en passant par la santé osseuse et la coagulation sanguine normale, et leur caractère essentiel implique qu’elles doivent être obtenues ou supplémentées lorsque l’alimentation ou les conditions physiologiques ne fournissent pas des quantités adéquates. Les compléments nutritionnels offrent des options pratiques et réglementées pour corriger des carences, satisfaire des besoins accrus dans des situations particulières ou compléter des régimes limités par préférence ou disponibilité. Une supplémentation responsable s’appuie sur des preuves, des fourchettes d’apport recommandées et des conseils professionnels ; elle met l’accent sur une approche axée sur l’alimentation tout en reconnaissant l’utilité d’assortiments de produits de haute qualité lorsque cela est justifié. Les consommateurs doivent choisir des compléments avec un étiquetage transparent, une origine fiable et des formes et doses de nutriments appropriées. Les professionnels de santé peuvent utiliser des bilans biologiques et des évaluations alimentaires pour identifier les besoins et personnaliser les recommandations. La connaissance des allégations fonctionnelles autorisées peut aider à définir des attentes réalistes quant à ce que les compléments peuvent accomplir, et la surveillance des interactions, des contre‑indications et des signes d’apports excessifs est importante pour la sécurité à long terme. Pour ceux qui recherchent des options par catégorie, explorer des sélections triées sur le volet — comme la vitamine C pour les fonctions associées au système immunitaire, la vitamine D pour le soutien osseux et immunitaire, la vitamine K pour la coagulation et la santé osseuse, le magnésium pour le rôle musculaire et nerveux, ou les suppléments oméga‑3 DHA/EPA pour le maintien neural et visuel — peut constituer une aide utile dans le cadre d’un plan plus large établi en consultation avec un clinicien. En fin de compte, intégrer les vitamines avec discernement au sein d’une approche globale du mode de vie, incluant une nutrition équilibrée, l’activité physique, le sommeil et les soins préventifs, constitue la meilleure base pour un bien‑être durable.
Questions & Réponses
Q : Quels sont les principaux types de vitamines et en quoi diffèrent‑elles ? R : Les vitamines se classent en vitamines hydrosolubles (complexe B et vitamine C) et liposolubles (A, D, E, K). Les vitamines hydrosolubles ne sont pas stockées de manière importante et sont excrétées dans l’urine en cas d’excès ; elles nécessitent généralement des apports plus fréquents. Les vitamines liposolubles s’absorbent avec les graisses alimentaires, peuvent être stockées dans les tissus et demandent une attention particulière pour éviter une accumulation excessive. Q : Quand faut‑il envisager une supplémentation en vitamines ? R : Les compléments sont appropriés lorsque l’apport alimentaire est insuffisant en raison de régimes restrictifs, d’exigences liées à une étape de la vie (par exemple l’acide folique en début de grossesse), d’une exposition solaire limitée affectant la vitamine D, de certaines conditions médicales altérant l’absorption, ou lorsque des analyses de laboratoire indiquent une carence. Une supplémentation systématique n’est pas nécessaire pour tout le monde ; une évaluation professionnelle aide à déterminer le besoin. Q : Les compléments sont‑ils meilleurs que les sources alimentaires ? R : L’alimentation reste la source préférée car les aliments entiers fournissent une matrice de nutriments et de composés bioactifs qui agissent en synergie. Les compléments sont utiles en complément lorsque l’alimentation seule ne suffit pas. Une stratégie « food‑first » combinée à une supplémentation ciblée lorsque cela est indiqué est optimale. Q : Comment choisir un complément de haute qualité ? R : Recherchez un étiquetage transparent, des informations claires sur les formes et les doses des nutriments, des fabricants réputés, la preuve d’un contrôle tiers lorsque disponible, et une conformité aux normes réglementaires locales. Consultez un professionnel de santé pour des conseils personnalisés, surtout si vous prenez des médicaments ou souffrez de maladies chroniques. Q : Existe‑t‑il des risques à prendre des vitamines ? R : Oui. Si la carence comporte des risques, un apport excessif — particulièrement pour les vitamines liposolubles — peut provoquer des effets indésirables. Des compléments à forte dose peuvent interagir avec des médicaments ou masquer des problèmes cliniques. Respectez les doses recommandées et la surveillance préconisée par un clinicien. Q : Quel rôle jouent les assortiments par catégorie dans le choix des produits ? R : Les pages de catégories et les assortiments proposés aident les consommateurs à comprendre les formats de produits courants et les formes d’ingrédients pour des nutriments spécifiques, tels que la vitamine C, la vitamine D, la vitamine K, le magnésium et les oméga‑3 (DHA/EPA). Ils servent de points de départ pratiques pour l’exploration, mais les choix doivent être validés par rapport aux besoins individuels et aux recommandations professionnelles.
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